Sunday, September 13, 2009
les jeunes et la mode
Le style et la personnalité
Continuons, si on vous demandais de dire si votre style reflète votre personnalité la plupart dirais oui, seulement est-ce que pour la plupart il le penserais vraiment ? Et bien moi je ne pense pas. Ce n'est pas parce que tu porte un chandail avec un chat dessus que tu adore les animaux et que tu veut devenir vété pour autant, et ce n'est pas non plus parce que tu porte un chandail marquer sexy avec des trous et les manche déchiré que tu est "une pute". Notre habillement ne doit pas où plutôt ne devrait pas reflèté ce qu'on est parce que le plus beau d'une personne n'est pas sa façons de mettre son corps en valeur mais plutôt sa personnalité.
Les jeunes, la mode
Pour pousuivre un peu, les jeunes et leurs style, sont confronté a des critères de mode beaucoup trop élevé du moin c'est ce que je crois un grand nombre de filles peuvent pleuré tout les soir sur leurs oreiller parce qu'elles on dix ou même trente kilo en trop mais ce n'est pas de leur faute les gens de la mode se fie au barbie beaucoup trop mince, toujours souriante etc... Depuis que les filles on 3... 4 ans elles jouent avec des barbies et voit leurs beauté... Pour ma part je n'est jamais vu de barbie obèse et vous ? J'ai beaucoup parler des filles pour le moments mais les gars aussi, même si on s'en apperçoit moin. Les gars eux c'est les "G-I-jo" ou encor les "ken" (mari des barbies) et encor là jamais je n'est vu de c'est jouets obèse. Pourtant c'est une chose courante qui arrivent au jeunes de notre génération ils sont mince, beau et tout et tout et plus tard arrivent des chose qui se bousculent dans leurs vies tout vas mal et finissent par noyer leurs peine non dans l'acool, non dans la drogue mais bien sur dans les cochonneries.
Selon moi, je ne sais si un jour cela vas enfin finir mais pour l'instant on n'y peut rien ou peut-etre une seule chose ne pas laisser les gens nous jugé par ce qu'ils voient mais par ce qu'il vont connaître et surtout laisser un peu la mode de côté...
P. S : Je tiens à dire que je ne visait personne en particulier et surtout que j'adore la mode gothique même si je vous est pris comme exemple...
les jeunes et la mode
Le style et la personnalité
Continuons, si on vous demandais de dire si votre style reflète votre personnalité la plupart dirais oui, seulement est-ce que pour la plupart il le penserais vraiment ? Et bien moi je ne pense pas. Ce n'est pas parce que tu porte un chandail avec un chat dessus que tu adore les animaux et que tu veut devenir vété pour autant, et ce n'est pas non plus parce que tu porte un chandail marquer sexy avec des trous et les manche déchiré que tu est "une pute". Notre habillement ne doit pas où plutôt ne devrait pas reflèté ce qu'on est parce que le plus beau d'une personne n'est pas sa façons de mettre son corps en valeur mais plutôt sa personnalité.
Les jeunes, la mode
Pour pousuivre un peu, les jeunes et leurs style, sont confronté a des critères de mode beaucoup trop élevé du moin c'est ce que je crois un grand nombre de filles peuvent pleuré tout les soir sur leurs oreiller parce qu'elles on dix ou même trente kilo en trop mais ce n'est pas de leur faute les gens de la mode se fie au barbie beaucoup trop mince, toujours souriante etc... Depuis que les filles on 3... 4 ans elles jouent avec des barbies et voit leurs beauté... Pour ma part je n'est jamais vu de barbie obèse et vous ? J'ai beaucoup parler des filles pour le moments mais les gars aussi, même si on s'en apperçoit moin. Les gars eux c'est les "G-I-jo" ou encor les "ken" (mari des barbies) et encor là jamais je n'est vu de c'est jouets obèse. Pourtant c'est une chose courante qui arrivent au jeunes de notre génération ils sont mince, beau et tout et tout et plus tard arrivent des chose qui se bousculent dans leurs vies tout vas mal et finissent par noyer leurs peine non dans l'acool, non dans la drogue mais bien sur dans les cochonneries.
Selon moi, je ne sais si un jour cela vas enfin finir mais pour l'instant on n'y peut rien ou peut-etre une seule chose ne pas laisser les gens nous jugé par ce qu'ils voient mais par ce qu'il vont connaître et surtout laisser un peu la mode de côté...
P. S : Je tiens à dire que je ne visait personne en particulier et surtout que j'adore la mode gothique même si je vous est pris comme exemple...
le tourisme au maroc
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Monday, June 29, 2009
la violence chez les jeunes
On la voit partout où l’on va et partout où l’on est. Bien que l’on veuille y échapper et ne pas la voir, c’est très difficile. Elle est présente chez beaucoup de gens et de plus en plus auprès des adolescents. Je parle évidemment de la violence. Autant de la violence physique que de la violence verbale. Toutes les sortes de violence affectent les jeunes et surtout en cette fin de siècle. La violence est-elle en croissance? Si oui, pourquoi? Et comment pouvons-nous tenter de régler ce problème?
La violence augmente-t-elle?
En effet, la violence est de plus en plus présente chez les jeunes. Elle est en pleine expansion au Canada, mais encore plus au Québec. En fait, en cinq ans, la violence auprès des jeunes a doublé. Des spécialistes ont soulevé que si cette violence est en augmentation, c’est que l’on n’agit pas assez rapidement. "On attend que les jeunes aient commis trois ou quatre ou cinq délits violents avant d’intervenir. À ce moment-là, le jeune a quinze ans et c’est souvent trop tard!", a déclaré Marc Ouimet, criminologue.
Pourquoi en arrivons-nous à la violence?
La violence naît souvent de l’irrespect d’une personne, d’une valeur, d’une règle et parfois d’une norme. Marc Ouimet pense que si tant d’adolescents commettent des délits de violence et que celle-ci augmente de plus en plus chez les jeunes, c’est à cause de l’affaiblissement de la famille. L’adolescence peut être aussi une période de "mal-être" durant laquelle la violence peut être retournée contre soi-même, quelquefois à cause de la pression des parents dans certains milieux où l’élève a un devoir de réussite à l’école et dans toutes ses matières.
Elle peut être la conséquence de différents modes de communication, comme par exemple:
L’entrée par effraction dans l’espace privé des élèves; | |
La pratique de jeux inoffensifs qui dégénèrent en conflits physiques; | |
Le recours à des langages différents qui en arrive à des malentendus. |
Comment régler le problème?
Voici quelques suggestions pour aider à régler le problème de la violence chez les jeunes:
Mettre en place des lieux d’écoute; | |
Confier à des élèves ou à des classes en difficulté une responsabilité concrète; | |
Créer le sentiment d’appartenance au groupe dans des classes en difficulté; | |
Mettre en application des programmes comme La violence, parlons-en; | |
Assurer un suivi des élèves qui sont exclus du groupe; | |
Multiplier les activités qui développent l’estime de soi des jeunes en difficulté (Clubs, associations sportives, |
les jeunes et le media en france
Quelle place occupent les médias dans la vie des jeunes d’aujourd’hui ? |
Aujourd’hui, les médias font partie de la vie quotidienne et constituent l’environnement familier des jeunes. La nouvelle génération, à la différence de la précédente, a grandi avec la télévision, a été témoin de tous les grands changements de l’audiovisuel et a connu le développement de l’informatique. Les médias sont omniprésents et participent largement, avec la famille, l’école, le groupe des pairs, à la socialisation des enfants et adolescents. La télévision en particulier, précède même l’école. Avec la radio, elle représente le premier média accessible pour l’enfant qui, très tôt, est capable d’allumer un téléviseur. La télévision reste à ce jour le média le plus consommé par l’ensemble des enfants et adolescents : à peine plus de 3% des enfants, issus pour la plupart de milieux favorisés, grandissent sans télévision à leur domicile. La télévision représente globalement, pour les jeunes le premier loisir et la troisième activité, en terme de budget-temps, après le sommeil et l’école. |
Quelle est leur influence sur la jeunesse? |
Plutôt que de parler de l’influence des médias, il serait plus juste d’évoquer les effets, voire les méfaits supposés des écrans, et particulièrement de la télévision. Ce média, et plus récemment les jeux vidéos ont fait l’objet de nombreuses discussions, d’études variées, de recherches diverses, pas toujours bien étayées, à propos de l’influence néfaste, voire des ravages pour certains auteurs, sur la scolarité, le sommeil, le développement intellectuel et moral, la désintégration de la famille, la santé physique et psychique de l’enfant, etc. Les méfaits attribués aux médias concernent le plus souvent le thème de la violence, sans qu’il soit généralement fait de distinction entre la violence à la télévision et la violence de la télévision. Force est de constater l’ampleur croissante prise par la violence dans les médias qui, d’une part reflète une violence présente dans le monde, et d’autre part offre des programmes de jeunesse pouvant comporter des épisodes aussi violents que certaines scènes d’actualité. Si assurément il existe une corrélation entre la violence des écrans et le comportement agressif des enfants (à partir d’une étude récente menée par la direction de l’Action Sociale et le ministère de la Culture auprès d'enfants de 11 à 13 ans), aucune recherche ne peut vraiment établir de causalité directe entre les deux. Il est plus probable que la violence télévisuelle ne crée pas de la violence, mais contribue à sa mise au jour lorsqu’elle existait déjà. À l’inverse, l’hypothèse selon laquelle les scènes télévisuelles de violence permettraient d’évacuer l’agressivité du jeune spectateur n’a jamais, non plus, été réellement démontrée. |
Quelle place occupent les médias dans l’enseignement ? |
Si les médias font bien partie de la vie quotidienne en France, ils ne font pas encore partie du quotidien de la vie scolaire. On observe de grandes disparités d’équipement selon le média considéré. Mais l’école ne peut suivre au même rythme l’évolution incessante de la société globale, évolution d’autant plus rapide que les technologies s’accélèrent de façon considérable. La sphère médiatique au sein de laquelle circulent des informations en tout genre représente un « espace public » aux caractéristiques profondément différentes de celles de l’institution éducative. Les techniques médiatiques fonctionnent selon le principe de l’éphémère de la société de consommation. L’école, elle, s’approprie lentement, non seulement les techniques, mais les informations, car elle fonctionne selon les principes de « mémoire », de « durée », de « compréhension » propres à la culture cultivée. Il semble bien que si l’institution scolaire est capable de réfléchir aux conséquences pédagogiques de chaque nouveau média, qu'elle soit, en revanche, au moins jusqu’à présent, incapable d’en déduire des politiques éducatives à long terme. Tout semble un peu fonctionner selon le « bon vouloir » d’enseignants isolés, ce qui ne permet aucunement une introduction, pensée à l’échelle de tout le système éducatif, des nouveaux médias, même si les trente dernières années ont été marquées par des plans successifs d’équipement. |
L’opposition entre médias et école a-t-elle un sens ? |
L’opposition traditionnelle entre éducation aux médias et éducation par les médias n’est peut-être plus aussi pertinente qu’elle ne l’était, dans la mesure où le développement du multimédia rende ces deux perspectives de plus en plus complémentaires. Il est, en effet, important pour les enseignants de savoir utiliser les médias comme autant d’outils susceptibles de varier les supports, d’accroître ainsi les motivations des élèves, d’augmenter l’efficacité, et, dans le même temps, de pouvoir proposer une réflexion critique sur les contenus et les canaux utilisés. Pour cela, la formation initiale et continue des enseignants est indispensable à l’appropriation de ces outils (aussi bien d’un point de vue strictement technique que vis-à-vis d’une utilisation critique de ces mêmes outils), appropriation qui, seule, permet la transmission des savoirs concernant les médias et leur interactivité. Les médias et l’école présenteraient dans cette optique une complémentarité. |
PUBLICATION DE L’OBSERVATOIRE DE L’ENFANCE |
les jeunes et l'ecran
La recherche comparative européenne consacrée aux enfants et aux jeunes dans un paysage audiovisuel en évolution a mobilisé onze pays. Chercheur au CNRS, Dominique Pasquier a dirigé l’équipe française. Les résultats de cette étude montrent que, dans tous les pays, la télévision reste le média dominant à la fois en termes d’équipement, de fréquences des pratiques, et de durée d’utilisation, y compris dans les pays qui ont des taux d’équipement en informatique domestique très supérieurs et plus anciens (par exemple : Hollande, Danemark, Suède, Finlande). L’enquête montre que les dynamiques familiales autour de la télévision sont très différentes de celles qui caractérisent les pratiques de l’ordinateur et des consoles. Non seulement la télévision est l’objet de beaucoup plus de pratiques collectives au sein du foyer que ne le sont les nouveaux écrans, mais surtout elle constitue un lien fort entre générations et entre sexes, ce qui n’est pas le cas des consoles et des ordinateurs. Les contextes familiaux d’utilisation très différents expliquent en grande partie les moindres fréquences d’utilisation des nouveaux écrans. Il y aura sûrement une part de déplacement dans les pratiques, de la télévision vers les écrans informatiques, mais elle ne sera sans doute pas aussi importante que tendent à le prétendre les discours actuels. L’ordinateur ne peut pas remplir les mêmes fonctions sociales que la télévision au sein de la cellule familiale. Ce résultat amène à reconsidérer les limites de sa progression dans le cadre domestique.
Il existe d’importantes disparités dans les usages selon les sexes, notamment autour des consoles de jeu et de l’informatique. Les résultats internationaux montrent que ces écarts ne se sont pas comblés dans les pays où l’équipement en informatique domestique est plus ancien et plus élevé, et même que dans certains cas, ils sont plus importants qu’en France (c’est le cas de la Suède, de la Finlande et du Danemark). La sphère médiatique des filles s’articule autour de pratiques fondées sur le lien (téléphone et télévision) et l’émotionnel (musique, lecture). Elles sont sous-équipées et sous-utilisent tous les médias nouveaux comme l’ordinateur et les consoles, s’estiment moins compétentes comme « personne ressource » sur ces médias, pratiquent moins les jeux que les garçons, sont moins incitées par leurs parents à se servir d’un ordinateur. On peut supposer toutefois que le développement des usages diversifiés de l’ordinateur avec Internet pourrait offrir aux filles des espaces d’usage de l’ordinateur mieux appropriés que les jeux auxquels elles s’intéressent nettement moins que les garçons.
Les équipements des foyers en ordinateur montrent de grosses variations selon l’origine sociale et selon les pays. Ce sont de petits pays qui sont les mieux équipés (Pays Bas, Danemark, Belgique, Suède) et de manière générale les pays scandinaves ont un taux d’équipement beaucoup plus élevé que les autres. Ailleurs qu’en Europe du Nord, l’équipement foyer en ordinateur est fortement corrélé à une origine sociale élevée. Le parc domestique informatique français est un des plus bas en Europe, avec celui de la Grande Bretagne, de la Suisse et de la Belgique. Mais surtout c’est un des parcs les plus anciens, avec très peu de C.D. Rom et de modems.
L’enquête montre des évolutions dans les équilibres entre pratiques collectives et pratiques individuelles au sein des foyers, et pose la question de l’effet de la privatisation croissante des équipements dans la chambre des enfants. Les équipements dans la chambre des enfants varient grandement d’un pays à l’autre : ils concernent deux enfants sur trois en Grande Bretagne et Danemark, contre un sur trois ou moins en France, Suisse et Belgique. La présence de la télévision dans la chambre est liée au sexe masculin dans tous les pays, et elle est partout plus fréquente chez les enfants les plus âgés. Dans la majorité des pays la présence d’une télévision dans la chambre de l’enfant est plus fréquente dans les milieux défavorisés.
On constate trois phénomènes :
la baisse des liens intergénérationnels avec les nouveaux médias, sauf dans les classes supérieures où de nouveaux liens père/fils se sont créés autour de l’ordinateur;
de nouvelles segmentations de la sociabilité familiale par sexe, avec une sphère masculine autour des jeux vidéo et de l’ordinateur et une sphère féminine qui reste centrée sur la musique, la télévision et le téléphone;
la plus forte pénétration de la sociabilité amicale dans le foyer : les jeunes disent aller beaucoup plus souvent chez leurs amis ou recevoir ces derniers chez eux, pour pratiquer des jeux sur console ou ordinateur, qu’ils ne le font pour aller regarder un programme de télévision.
La coupure générationnelle, qui s’exerce en faveur de la sociabilité amicale, entraînera certainement des changements importants dans la régulation parentale sur les médias domestiques, et risque de disqualifier plus particulièrement les parents des familles les plus défavorisées qui entretiennent une relation beaucoup plus distante à l’informatique que les parents des familles favorisées.
Les interactions entre pratiques des différents médias ne sont pas corrélées aux fréquences d’utilisation mais aux durées des sessions d’utilisation (soit le temps passé le jour où on utilise un média). Dans tous les pays les croisements entre pratiques montrent :
que la pratique des écrans n’exerce pas d’effet négatif sur les pratiques de lectures de livres sauf dans le cas des pratiquants très intensifs qui ont de longues durées de session;
que chez ces pratiquants très intensifs il existe une forte « cumulativité » des pratiques de la télévision, des consoles et de l’ordinateur, celle entre télévision et console étant plus forte que celle entre télévision et ordinateur;
que les pratiquants très intensifs présentent un profil particulier par rapport aux autres : ils sont plus que les autres en conflit avec le monde scolaire, moins positifs sur les relations avec leurs parents, et jugent insatisfaisantes les opportunités qu’offre leur environnement géographique. En revanche ils sont plus sociables que les autres enquêtés avec une très forte sociabilité de groupe, et ont de meilleures perceptions d’eux mêmes que les gros lecteurs de livres.
Sunday, April 19, 2009
Monday, April 13, 2009
tourisme
Angèle Laisné
Faire face à la concurrence internationale, pas si simple pour les entreprises liées au secteur du tourisme, surtout dans un environnement économique mondialisé. Mais quand il s’agit d’en dégager de nouvelles opportunités, les professionnels du tourisme activent leur création et leur expérience pour donner vie à vos rêves et vos envies de voyages. En France, le tourisme représente un enjeu considérable de développement économique. Véritable terre d’accueil et d’exception culturelle, la France est aujourd’hui en effet n°1 en nombre de touristes et n°3 pour les recettes touristiques générées. Pour 2020, le gouvernement affiche son ambition : la France devra être capable de capter la nouvelle clientèle mondiale provenant des pays émergents et d’adapter une offre aux nouveaux modes de consommation, tels que les exigences en matière de sécurité, d’accueil et de confort… Selon l’Organisation mondiale du tourisme, les spécialistes attendent un doublement du nombre de touristes d’ici à 2020, soit 1,8 milliard de personnes, les voyages étant de moins en moins chers et plus accessibles à tous. Alors au programme : découvertes personnalisées, formules toujours plus spécialisées et adaptées, nouvelles thématiques telles que le voyage durable, éthique et solidaire, etc. Le secteur du tourisme a vocation à muter dans les prochaines années, faisant naître ainsi une offre des plus complètes et des plus créatives. Le niveau attendu est à la hauteur du positionnement de la France en la matière, c’est-à-dire de leader mondial.
tourisme
Sunday, April 5, 2009
Saturday, March 28, 2009
Friday, March 27, 2009
4 Freedoms...
- UN of human rights.
- FREEDOM OF SPEECH,FREEDOM OF RELIGION,FREEDOM FROM WANT,FREEDOM FROM FEAR
^^freedom of Speech
- Freedom of speech is the freedom to speak freely without censorship or limitation in public.
- used to denote not only freedom of verbal speech but any act of seeking, receiving and imparting information or ideas, regardless of the medium used.
- Freedom of speech and freedom of expression are closely related , yet distinct from, the concept of freedom of thought.
- The ICCPR recognizes the right to freedom of speech as "the right to hold opinions without interference, Everyone shall have the right to freedom of expression".
Importance
A nation's unity is created through blending individual differences rather than imposing homogeneity from above; that the ability to explore the fullest range of ideas on a given issue was essential to any learning process and truth cannot be arrived upon unless all points of view are first considered; and that by considering free thought, censorship acts to the detriment of material progress.
it is up to each individual to uncover their own truth; no one is wise enough to act as a censor for all individuals.
Democracy
For such a system to work an informed electorate is necessary.there must be no constraints on the free flow of information and ideas.freedom of speech helps to provide a good balance between stability and change."The principle of open discussion is a method of achieving a moral adaptable and at the same time more stable community.Opposition serves a vital social function in offsetting or ameliorating (the) normal process of bureaucratic decay.
Social Interactions and communities.
By communicating an individual forms relationships and associations with others - family, friends, co-workers, church congregation, and countrymen. By entering into discussion with others an individual participates in the development of knowledge and in the direction of the community."
Limitations on freedom of speech.
- The freedom of speech is not absolute.
- may follow the "harm principle" or the "offense principle", for example in the case of pornography or "hate speech.
- liberty of expression is required to push arguments to their logical limits, rather than the limits of social embarrassment.
- Certain expressions can be prohibited by law ...example: Vulgar language in public buses !
The Internet.
freedom of information;
- Freedom of information is an extension of freedom of speech where the medium of expression is the Internet.
- Freedom of information may also concern censorship in an information technology context, i.e. the ability to access Web content, without censorship or restrictions.[citation needed]
- Freedom of opinions and expression : Youtube!
In Mru
- Our high schools....boy's school....vulgar language...(degeneration)
- Radios--Radio plus,top fm /// media creating tensions...but allowing ppl to express themselves..this is a democracy! example : some ppl give the impression that the country is degrading...WTF?
- Communalism...Ti malbar...ti nation....ti lascar
- ADV: radio programs...petitions...improvement for the civilians.
^^FREEDOM OF RELIGION
1)Freedom of religion is a principle that supports the freedom of an individual or community, in public or private, to manifest religion or belief in teaching, practice, worship, and observance.
2)The concept is generally recognized to also include the freedom to change religion or not to follow any religion. Freedom of religion is considered by many in many nations and people to be a fundamental human right.
3)it is a form of injustice (spiritual injustice) when persons are denied the liberty to exercise their religious freedom [1]. Freedom of religion as a legal concept is related to, but not identical with, religious toleration, separation of church and state, or secular state .
http://www.illinoisfirstamendmentcenter.com/religion.php
Why is freedom of religion important?
My beliefs...etc etc
Persecution...Today there are concerns about the persecution of religious minorities in the Muslim world and in some communist states such as China and North Korea, as well as other forms of intolerance in other countries .
Muslims girls :
veils in schools???teachers believed it would make communication and learning difficult.
the ban was "proportionate" in the light of certain factors:
-the veil prevented teachers from seeing facial expressions - a key element in effective classroom interaction .
-the necessity to enforce a school uniform policy under which girls of different faiths would have a sense of equality and identity.
-security - the head teacher had said an unwelcome visitor could move around the school incognito
the need to avoid peer pressure on girls to take up wearing the veil.
Mru:
- multiracial country
- racial tensions ...not that much yet increasing....ex:politics(favour this community etc etc)
- prejuidice - discrimination in the work field--it does exist...but should religion mix with public life?definitely not...2 separate issue!
freedom from want.
The third is freedom from want--which, translated into universal terms, means economic understandings which will secure to every nation a healthy peacetime life for its inhabitants--everywhere in the world.
The past 25 years have seen the most dramatic reduction in extreme poverty that the world has ever experienced. Spearheaded by progress in China and India, literally hundreds of millions of men, women and children all over the world have been able to escape the burdens of extreme impoverishment and begin to enjoy improved access to food, health care, education and housing.
http://www.un.org/largerfreedom/chap2.htm
For centuries, this kind of poverty has been regarded as a sad but inescapable aspect of the human condition. Today, that view is intellectually and morally indefensible. The scale and scope of progress made by countries in every region of the world has shown that, over a very short time, poverty and maternal and infant mortality can be dramatically reduced.
Freedom from fear.
The fourth is freedom from fear--which, translated into world terms, means a world-wide reduction of armaments to such a point and in such a thorough fashion that no nation will be in a position to commit an act of physical aggression against any neighbor--anywhere in the world.
http://www.un.org/largerfreedom/chap3.htm
- civial violence,terrorism,organized crime --mass destruction
- poverty
- deadly infectious disease
- environmental degradation